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Pour le Open-Data Hackathon 2010, Montréal Ouvert facilitera un petit événement pour des hackers/designers à Montréal à base d’information disponible de la ville.
L’événement aura lieu à la Station-C : 5369 rue St. Laurent le 4 décembre de 10h à 16 h
Inscrivez-vous ici : http://doodle.com/rxarp8x7639qevar
Plus d’informations ici : http://www.opendataday.org/wiki/Main_Page
Communautique, un organisme communautaire qui favorise l’appropriation des technologies par les citoyens, vient tout juste de publier un Manifeste pour un plan numérique québecois.
Nous sommes très heureux de voir que parmi les recommandations émises, figurait l‘accès ouvert et le partage des données et des savoirs scientifiques.
Il apparaît de plus en plus clairement que la question de l’accès aux données est un des points-clé pour une implication plus forte des citoyens dans la société, et la publication du manifeste de Communautique fait echo à la publication en septembre dernier des résolutions des commissaires canadiens de l’accès à l’information et à la protection de la vie privée, qui soulignaient l’important d’un accès à l’information complet, simple et exploitable.
Nous félicitons donc chaleureusement Communautique pour cette initiative, qui nous l’espérons, portera fruits !
MontréalOuvert publie un mémoire pour la commission des services aux citoyens
Nous avions déjà bloggé au sujet de la commission sur les services aux citoyens organisée par la ville de Montréal, dont la prochaine séance se tient demain à la Bibliothèque de Saint-Léonard.
Suite à notre présence lors de la première commission, nous avons publié un mémoire abordant les problèmatiques relatives à la communication entre la ville et les (jeunes) citoyens, et en présentant l’opportunité que représente l’ouverture des données publiques.
Ce mémoire vient tout juste d’être mis en ligne par la ville, vous pouvez d’ailleurs le télécharger directement ici (en PDF).
N’hésitez pas à faire des commentaires, et à suivre le dossier 🙂
Récemment, Tim O’Reilly, un pionnier dans le monde des technologies web, a livré un discours intéressant intitulé « Do it ourselves [government] » où il propose de remettre une partie du pouvoir du gouvernement dans les mains des citoyens. Certes, il prend une position très américaine, mais son point principal est qu’avec les technologies telles que l’internet les citoyens peuvent maintenant contribuer plus aux fonctionnements de leurs gouvernements et communautés. Pour que cela fonctionne, il faut que les gouvernements offrent des informations dans un format ouvert et accessible. Je vous encourage à visualiser son discours (en anglais) ci-dessous.
Saviez-vous que la semaine du 27 septembre au premier octobre est la semaine internationale du Droit à l’Information ? Durant cette semaine, un certain nombre d’évènements sont organisés pour promouvoir le droit d’accès à l’information, un thème touchant de très près l’ouverture des données publiques.
Vous trouverez sur le site de l’évènement tout un ensemble de conférences et tables rondes dans la plupart des grandes villes du Canada, de Victoria à Halifax.
Au delà des évènements, vous pouvez également aller plus loin en lisant et en participant par Internet au travers des liens suivants:
- Le mot du président de la Commission d’accès à l’Information du Québec (lire ici)
- Des lettre types à envoyer aux organismes publics et entreprises pour accéder à l’information (télécharger ici)
- Clavardage en direct avec les Commissionnaires à l’Information du Canada (voir les horaires)
- Un article (en anglais) discutant du Droit à l’Information et de l’Ouverture des Données Gouvernementales (lire ici)
Mike et et moi (Sébastien) sommes récemment allés à l’atelier « Cartographie des problèmes environnementaux dans la Ville » qui se tenait à l’Université Concordia cette semaine. Nous y avons rencontré un groupe éclectique de cartographes, artistes et chercheurs, rassemblés pour travailler sur une nouvelle base de données compilant des données relatives à la santé, la toxicité des sols, la qualité de l’air ainsi que des indicateurs socio-économiques à Montréal.
Cette base de données, qui est maintenant disponible sur le site web de l’atelier est un très bon exemple du processus de conversion et d’aggrégation de données existantes dans une nouvelle base de données pouvant être aisément manipulée par des tableurs et programmes informatiques.
Durant la création de cette base de donnée à partir de diverses sources pré-existantes (incluant Statistiques Canada), l’équipe a été confrontée à des problématiques telles que la précision des données, leur exhaustivité, leur résolution ainsi que bien évidemment leur qualité — ces problèmes sont des problèmes qui se poseront très probablement dans un projet d’ouverture de données.
A ce titre, Sébastien Caquard, un des chercheurs à l’origine de la base de données, expliquait que devant la difficulté d’obtenir les données qu’ils souhaitaient, ils ont du se résoudre à récolter tant bien que mal les données à partir de materiel existant, tel que les cartes et articles déjà publiés.
Nous avons ici une très bonne illustration des bénéfices qu’apporterait une approche de données-ouvertes des organisations publiques : en s’engageant à publier leurs données d’une manière ouverte, basée sur des formats standards, celles-ci diminuent considérablement les barrières à l’innovation et encouragent la réutilisation des données
Alors que la collecte des données reste un procesus long et coûteux, pourquoi laisser cette richesse dormir dans des disques durs au fond de laboratoires ? C’est justement en ouvrant les données à tous, que celles-ci peuvent devenir le nouveau terreau fertile sur lequel pourront se développer de nouveaux projets, et ainsi stimuler l’innovation, plutôt que la limiter.
L’ouverture des données du gouvernement danois a généré 62 millions d’euros de bénefices
Danish Enterprise and Construction Authority (DECA), vient de publier une analyse des retombés économiques de la décision de 2002 d’offrir toutes les adresses danoises en ligne sans frais pour des utilisations personnelles et commerciale.
La conclusion principale est que cette entente a produit, entre 2005 et 2009, plus de 52 millions d’euros d’activité économique et les coûts associés avec la gestion de données n’ont été que 2 millions d’euros.
Pour 2010, il est estimé que les bénéfices seront environ 14 millions d’euros avec des coûts de 200 000 euros. Un document de 8 pages expliquant les résultats et accessible en Danois et Anglais à www.adresse-info.dk et directement par ces liens:
(Danish) : http://www.adresse-info.dk/Portals/2/Benefit/Vaerdien_af_danske_adressedata_2010-07-07l.pdf
(English) : http://www.adresse-info.dk/Portals/2/Benefit/Value_Assessment_Danish_Address_Data_UK_2010-07-07b.pdf
Plus d’info ici : http://www.epsiplatform.eu/news/news/value_of_danish_address_data
Voici une brève présentation sur les défis et bénéfices potentiels des données ouvertes. Chip Kromer gère le site www.infochimps.org qui offre un accès centralisé et simplifié de toutes les données ouvertes qui sont présentement disponibles. Sa présentation (en anglais) offre un survol intéressant des différents défis à surmonter pour que le public puisse accéder aux données civiques importantes. Notamment, il donne l’exemple des coûts pour télécharger les données historiques du Federal Aviation Association (une agence gouvernementale) aux États-Unis, les coûts remontent à plus de 1 million de dollars par gigaoctet!